HEIST-OUT : LES ORIGINES
Puisqu’il n’y a pas de dictature sans dissidents, et que cela vaut aussi pour l’horlogerie, laissez-nous vous présenter HEIST-OUT.
HEIST-OUT, mélange de Iced Out (se dit de montres ou bijoux entièrement sertis) et Heist (= braquage), c’est une nouvelle publication papier qui vient porter haut et fort et assumer un contrepoids dans l’industrie horlogère actuelle.
Aussi un groupe d’amis aux mêmes convictions, aux goût horlogers proches, mêlant les matériaux nobles, les designs tranchants, nous renvoyant à un “autre” monde de l’horlogerie.
HEIST-OUT : LE PROJET
Même si HEIST OUT rassemble une même bande d’amis et des journalistes autour de différents sujets que nous vous détaillerons par la suite, on le doit à deux protagonistes : Maxime Couturier et Lorenzo Maillard.
Des amis de longue date, ayant évolué quelques années ensemble au sein de la Fondation de la Haute Horlogerie à Genève, et désireux de se lancer dans un projet important et d’envergure.
Et avant tout un cri du coeur. Celui d’une industrie, qui même si elle nous enchante toujours, commence à sacrément manquer de son originalité d’antan, pour laisser place à une surface lisse. Si le luxe a sauvé l’horlogerie après la crise du quartz, il pourrait aussi être le coup fatal à ce qui fait l’unicité de chacune des marques.
QU’ALLEZ-VOUS TROUVER DANS « ISSUE 1 » ?
Pour cette deuxième itération, il faudra savoir lire dans deux sens différents.
Le premier, baptisé “Quiet”, apportera la base sans laquelle la dissidence n’a ni goût, ni logique. La base de l’horlogerie traditionnelle, entre histoires, techniques, recherches en profondeur, que chacun devrait avoir en tête avant d’aller plus loin.
La démonstration de Maxime et Lorenzo que la remise en question “pure et dure” n’est pas gratuite, et qu’elle ne peut pas se passer de la présentation d’un univers qui nous passionne tous, en revenant aux fondamentaux de l’horlogerie.
